Aufildemavie
Ma vie
Jeudi 23 février 2012 à 16:00
J'ai l'honneur de vous annoncer que ce blog fête ses 12 mois d'existence ce jour. Eh oui, 1 an déjà!! Que le temps passe vite, surtout en votre compagnie.
Afin de passer cette belle journée comme il se doit, je vous prie de bien m'aider à la décoration de la salle. Pour commencer, voici les ballons
Accrochez-les là où ça vous plait.
Pour les derniers préparatifs, je dois aller faire quelques courses,
Alors amusez-vous, mais n'en profitez pas pour faire trop les foufous hein, bande de garnements
Voilà, je suis partie affronter le froid de canard qui sévit sur notre beau pays, et je suis revenue avec plein de bonnes choses.
Un joli gâteau de bonbons pour la déco, ah non on touche pas tout de suite!
de quoi s'ouvrir l'appétit
Et le meilleur pour la fin, ce qui m'a aussi permis de me réchauffer pendant sa cuisson au four:
Ah, j'allais oublier, de la belle vaisselle et de quoi faire couler tout ça
Je vous laisse le choix de la musique et amusez-vous bien!!!
Mercredi 15 février 2012 à 22:27
Comme vous le savez, je ne veux pas d'enfant (mais c'est peut-être pas définitif) et je n'en savais pas trop la raison.
Du coup, après mon dernier article sur le sujet, j'ai réfléchi (oui ça m'arrive de temps en temps ) à la question et je pense avoir trouvé la réponse.
Jvous explique mon cheminement.
Déjà il faut dire que mon non-désir d'enfanter n'a pas toujours été, comme toutes petites filles je rêvais d'avoir des enfants, même que d'abord j'en voulais 7 ou 8 pis qu'en plus j'avais même décidé des prénoms (bon ok jn'étais pas allée chercher loin, c'était les prénoms des garçons de notre entourage qui étaient les n'amoureux de ma soeur ni plus ni moins)
Quand je suis rentrée au collège, mon père travaillait et ma mère occupait son temps libre à faire des activités au centre social du coin, ateliers qui finissaient souvent vers les 17h ou 18 h.
Je finissais les cours à 16h20 et ma soeur l'école à 16h45.
Trajet collège/appart = 15 minutes
Trajet appart/école = 10 minutes
Mes parents n'étant pas disponibles, c'est moi qui devait aller la chercher, avec un goûter que je préparais moi-même car on n'avait pas toujours des gâteaux dans le placard.
Cette année-là, ma mère m'avait demandé si ça ne me dérangeait pas qu'elle ne soit pas tout le temps là quand je rentrais du collège. J'aurais aimé qu'elle soit là plus souvent mais comme je savais que les activités étaient sa seule occupation, je lui ai répondu que ça ne me dérangeait pas.
J'avais 11 ans, ma soeur en avait 8.
L'année d'après, ma petite soeur est née. Les problèmes de santé de ma mère se sont aggravés.
Je continuais à m'occuper de ma soeur tout en aidant mes parents à s'occuper de ma petite soeur. D'ailleurs j'avais et j'ai toujours l'impression que c'était eux qui m'aidaient à m'occuper de ma fille que l'inverse.
Un matin que je commençais les cours à 8h, la petite s'était réveillé 10 minutes avant que je parte. Je lui ai préparé son biberon en espérant que l'un de mes parents se réveille avant mon départ (la nuit avait été courte pour tout le monde, je n'osais pas les réveiller). Ne voyant personne bouger, j'en suis venue à me demander si:
- je devais attendre que l'un deux se réveille
- je devais l'emmener avec moi en cours (elle devait avoir dans les 4/5 mois)
-je devais malgré tout réveiller mes parents
-je devais ne pas aller en cours, ou au minimum arriver en retard.
Finalement mon père s'est réveillé et lui a donné son bib'.
J'avais 12 ans, ma soeur 9 et ma petite soeur n'avait pas encore 1 an.
Ensuite, c'est ma période noire, j'étais vraiment pas bien dans ma peau, et jme souviens surtout des disputes que j'avais avec ma soeur pour savoir qui changera la petite. Disputes amplifiées lorsqu'elle avait fait caca.
Fin de 4ème, on déménage, fin de 3ème je décide de partir en internant pour prendre l'air pensant que je ne pourrais rentrer QUE pendant les vacances. Mauvaise pioche, on devait rentrer tout les week-ends.
On avait changé de quartier mais pour des raisons pratiques, je n'avais pas changé de collège, alors je vivais chez mes grands-parents, unique situation positive de cette période.
Si au début, le nouveau quartier de mes parents m'a fait du bien, ça n'a pas duré très longtemps. Pendant tout un trimestre je me sentais mieux à la MFR que chez moi, ensuite est venu le temps où je me suis aperçu qu'on me prenait pour une c**** à la MFR. Evidemment ça n'a pas arrangé mon mal-être.
Un vendredi soir alors que j'étais mal de chez mal, que j'en pouvais plus de rien, j'allais pour rentrer chez moi, j'étais ENCORE SUR LE PALLIER que ma soeur m'ademandé ordonné de vider et nettoyer le pot de la petite car elle l'avait déjà fait peu de temps auparavant.
J'avais entre 16 et 18 ans, ma soeur entre 13 et 15 et ma petite soeur entre 1 et 3 ans.
Depuis ce temps-là, je m'occupe ENCORE de ma petite soeur. Il a fallu que je la lave l'habille la couche pendant assez longtemps (Je lui fais TOUJOURS couler son bain et lui lave/shampouinne/rince les cheveux assez souvent que la douche fonctionne ou pas)
Quand on mange en "sandwich" (par envie ou parce qu'on peut pas faire autrement", JE dois lui faire, et à tout les repas je dois lui couper son morceau de fromage (quoique pour ces deux points ça commence à changer)
Je devais aussi lui faire chauffer son lait le matin, mais pour pas qu'elle ait à le faire, elle a décrété qu'elle le boirait froid.
Je lui fais aussi son lit car vu que la chambre est en bazard "c'est pas facile pour elle" ==>> parole de ma mère.
Cette même chambre que JE lui ai rangé je ne sais combien de fois
Et en ce qui concerne ma soeur et ses enfants, c'est pareil, JE fais pas mal de choses qui devraient être faites par elle et son mec, mais comme au bout d'un moment ça m'énerve et surtout pour le bien-être des petits, c'est moi qui fait.
JE m'occupe aussi de ma mère, enfin, je la roule quand elle doit sortir et je dois être là aux heures des repas, surtout le midi pour que la cuisine soit faite et la table mise quand ma petite soeur rentre du collège et selon les jours, c'est pas forcément compatibles avec mes heures de boulot.
J'ai 28 ans, ma soeur 25 et ma petite soeur 16 (dans 4 jours)
Alors bien sûr, dans l'absolu, ça ne me dérange pas de faire tout ça + tout ce que je n'ai pas marqué mais ce qui me dérange c'est que je suis la seule à le faire alors qu'on pourrait être 3 à le faire.
Enfin, tout ça pour conclure que si je ne veux pas d'enfant c'est puisque je m'occupe de tout et de tout le monde quasiment de façon maternelle, je n'ai pas le temps de désirer materner puisque de toutes façons je le fais déjà, d'une certaine manière.
Du coup, après mon dernier article sur le sujet, j'ai réfléchi (oui ça m'arrive de temps en temps ) à la question et je pense avoir trouvé la réponse.
Jvous explique mon cheminement.
Déjà il faut dire que mon non-désir d'enfanter n'a pas toujours été, comme toutes petites filles je rêvais d'avoir des enfants, même que d'abord j'en voulais 7 ou 8 pis qu'en plus j'avais même décidé des prénoms (bon ok jn'étais pas allée chercher loin, c'était les prénoms des garçons de notre entourage qui étaient les n'amoureux de ma soeur ni plus ni moins)
Quand je suis rentrée au collège, mon père travaillait et ma mère occupait son temps libre à faire des activités au centre social du coin, ateliers qui finissaient souvent vers les 17h ou 18 h.
Je finissais les cours à 16h20 et ma soeur l'école à 16h45.
Trajet collège/appart = 15 minutes
Trajet appart/école = 10 minutes
Mes parents n'étant pas disponibles, c'est moi qui devait aller la chercher, avec un goûter que je préparais moi-même car on n'avait pas toujours des gâteaux dans le placard.
Cette année-là, ma mère m'avait demandé si ça ne me dérangeait pas qu'elle ne soit pas tout le temps là quand je rentrais du collège. J'aurais aimé qu'elle soit là plus souvent mais comme je savais que les activités étaient sa seule occupation, je lui ai répondu que ça ne me dérangeait pas.
J'avais 11 ans, ma soeur en avait 8.
L'année d'après, ma petite soeur est née. Les problèmes de santé de ma mère se sont aggravés.
Je continuais à m'occuper de ma soeur tout en aidant mes parents à s'occuper de ma petite soeur. D'ailleurs j'avais et j'ai toujours l'impression que c'était eux qui m'aidaient à m'occuper de ma fille que l'inverse.
Un matin que je commençais les cours à 8h, la petite s'était réveillé 10 minutes avant que je parte. Je lui ai préparé son biberon en espérant que l'un de mes parents se réveille avant mon départ (la nuit avait été courte pour tout le monde, je n'osais pas les réveiller). Ne voyant personne bouger, j'en suis venue à me demander si:
- je devais attendre que l'un deux se réveille
- je devais l'emmener avec moi en cours (elle devait avoir dans les 4/5 mois)
-je devais malgré tout réveiller mes parents
-je devais ne pas aller en cours, ou au minimum arriver en retard.
Finalement mon père s'est réveillé et lui a donné son bib'.
J'avais 12 ans, ma soeur 9 et ma petite soeur n'avait pas encore 1 an.
Ensuite, c'est ma période noire, j'étais vraiment pas bien dans ma peau, et jme souviens surtout des disputes que j'avais avec ma soeur pour savoir qui changera la petite. Disputes amplifiées lorsqu'elle avait fait caca.
Fin de 4ème, on déménage, fin de 3ème je décide de partir en internant pour prendre l'air pensant que je ne pourrais rentrer QUE pendant les vacances. Mauvaise pioche, on devait rentrer tout les week-ends.
On avait changé de quartier mais pour des raisons pratiques, je n'avais pas changé de collège, alors je vivais chez mes grands-parents, unique situation positive de cette période.
Si au début, le nouveau quartier de mes parents m'a fait du bien, ça n'a pas duré très longtemps. Pendant tout un trimestre je me sentais mieux à la MFR que chez moi, ensuite est venu le temps où je me suis aperçu qu'on me prenait pour une c**** à la MFR. Evidemment ça n'a pas arrangé mon mal-être.
Un vendredi soir alors que j'étais mal de chez mal, que j'en pouvais plus de rien, j'allais pour rentrer chez moi, j'étais ENCORE SUR LE PALLIER que ma soeur m'a
J'avais entre 16 et 18 ans, ma soeur entre 13 et 15 et ma petite soeur entre 1 et 3 ans.
Depuis ce temps-là, je m'occupe ENCORE de ma petite soeur. Il a fallu que je la lave l'habille la couche pendant assez longtemps (Je lui fais TOUJOURS couler son bain et lui lave/shampouinne/rince les cheveux assez souvent que la douche fonctionne ou pas)
Quand on mange en "sandwich" (par envie ou parce qu'on peut pas faire autrement", JE dois lui faire, et à tout les repas je dois lui couper son morceau de fromage (quoique pour ces deux points ça commence à changer)
Je devais aussi lui faire chauffer son lait le matin, mais pour pas qu'elle ait à le faire, elle a décrété qu'elle le boirait froid.
Je lui fais aussi son lit car vu que la chambre est en bazard "c'est pas facile pour elle" ==>> parole de ma mère.
Cette même chambre que JE lui ai rangé je ne sais combien de fois
Et en ce qui concerne ma soeur et ses enfants, c'est pareil, JE fais pas mal de choses qui devraient être faites par elle et son mec, mais comme au bout d'un moment ça m'énerve et surtout pour le bien-être des petits, c'est moi qui fait.
JE m'occupe aussi de ma mère, enfin, je la roule quand elle doit sortir et je dois être là aux heures des repas, surtout le midi pour que la cuisine soit faite et la table mise quand ma petite soeur rentre du collège et selon les jours, c'est pas forcément compatibles avec mes heures de boulot.
J'ai 28 ans, ma soeur 25 et ma petite soeur 16 (dans 4 jours)
Alors bien sûr, dans l'absolu, ça ne me dérange pas de faire tout ça + tout ce que je n'ai pas marqué mais ce qui me dérange c'est que je suis la seule à le faire alors qu'on pourrait être 3 à le faire.
Enfin, tout ça pour conclure que si je ne veux pas d'enfant c'est puisque je m'occupe de tout et de tout le monde quasiment de façon maternelle, je n'ai pas le temps de désirer materner puisque de toutes façons je le fais déjà, d'une certaine manière.
Dimanche 12 février 2012 à 15:05
Le repas du midi à peine terminé, nous voilà pris d'une question EX-IS-TEN-TI-EL-LE, à savoir "Qu'est-ce qu'on mange ce soir?", tout en sachant que ça doit correspondre
-au goût de chacun (comment mettre 5 personnes d'accord?)
-être facile et si possible rapide à faire
- ne pas trop alléger le porte-monnaie déjà quasiment vide
-ne pas être compliquer à manger pour une enfant de 28 mois.
L'idée première, une soupe (en brique car pas de légumes à dispo), idée refusée (normal c'est la mienne), deuxième idée, une raclette, idée examinée (normal idée de ma soeur) mais rejetée car pas possible d'acheter le fromage à raclette et la charcuterie qui va avec puis trop risqué d'avoir l'appareil à raclette sur la table avec Miss touche-à-tout, troisième idée, tartiflette, idée acceptée (normal idée de ma petite soeur).
Alors avec ma petite soeur et mon beau-frère (ne rêvez pas, ma relation à lui ne s'est pas arrangée, elle s'est plutôt empirée, mais là n'est pas le sujet), direction le magasin rayon fromage à la recherche du Reblochon, ouf c'est le dernier, direction la caisse sans oublier les lardons et en avant-guinguamp!
Nous voilà rentrés, un café une cigarette pour nous remettre de l'expédition, et hop on attaque.
A l'épluchage et découpage des pommes de terre, ma soeur et moi.
A l'installation du plat, ma mère.
Le temps passe, la neige tombe pendant le café de l'après-midi. L'heure de la mise au four arrive, reste plus qu'à surveiller la cuisson.
Je me retrouve avec ma petite soeur. Installées devant la fenêtre, on regarde la neige tombait. Le silence règne un moment, c'est magique. Prête à les entendre, je m'attends à un moment "confidences" qui ne viendra pas, ce fût juste une discussion banale.
- rolalala comment je vais faire pour aller en cours demain s'il continue à neiger comme ça? (sous-entendu: pourvu qu'il neige, je n'irais pas en cours)
- on verra bien, mais vu ta moyenne c'est pas le moment de rater tes cours, surtout que tu n'y es déjà pas allé lundi à cause de la neige.
La neige tombe de plus en plus, ses espoirs grandissent tandis que je m'inquiète de ne pouvoir aller travailler (je suis à vélo). J'ai déjà moi aussi loupé ma journée de lundi pour les mêmes raisons.
La discussion continue, s'arrête, reprend, on se fait interrompre à deux reprises, l'une par notre beau-frère, la deuxième par notre soeur.
Les bains sont terminés, le couvert se dresse, une dernière cigarette avant de passer à table, la tartiflette est prête.
Un silence inhabituel apparaît; le plat est délicieux.
-au goût de chacun (comment mettre 5 personnes d'accord?)
-être facile et si possible rapide à faire
- ne pas trop alléger le porte-monnaie déjà quasiment vide
-ne pas être compliquer à manger pour une enfant de 28 mois.
L'idée première, une soupe (en brique car pas de légumes à dispo), idée refusée (normal c'est la mienne), deuxième idée, une raclette, idée examinée (normal idée de ma soeur) mais rejetée car pas possible d'acheter le fromage à raclette et la charcuterie qui va avec puis trop risqué d'avoir l'appareil à raclette sur la table avec Miss touche-à-tout, troisième idée, tartiflette, idée acceptée (normal idée de ma petite soeur).
Alors avec ma petite soeur et mon beau-frère (ne rêvez pas, ma relation à lui ne s'est pas arrangée, elle s'est plutôt empirée, mais là n'est pas le sujet), direction le magasin rayon fromage à la recherche du Reblochon, ouf c'est le dernier, direction la caisse sans oublier les lardons et en avant-guinguamp!
Nous voilà rentrés, un café une cigarette pour nous remettre de l'expédition, et hop on attaque.
A l'épluchage et découpage des pommes de terre, ma soeur et moi.
A l'installation du plat, ma mère.
Le temps passe, la neige tombe pendant le café de l'après-midi. L'heure de la mise au four arrive, reste plus qu'à surveiller la cuisson.
Je me retrouve avec ma petite soeur. Installées devant la fenêtre, on regarde la neige tombait. Le silence règne un moment, c'est magique. Prête à les entendre, je m'attends à un moment "confidences" qui ne viendra pas, ce fût juste une discussion banale.
- rolalala comment je vais faire pour aller en cours demain s'il continue à neiger comme ça? (sous-entendu: pourvu qu'il neige, je n'irais pas en cours)
- on verra bien, mais vu ta moyenne c'est pas le moment de rater tes cours, surtout que tu n'y es déjà pas allé lundi à cause de la neige.
La neige tombe de plus en plus, ses espoirs grandissent tandis que je m'inquiète de ne pouvoir aller travailler (je suis à vélo). J'ai déjà moi aussi loupé ma journée de lundi pour les mêmes raisons.
La discussion continue, s'arrête, reprend, on se fait interrompre à deux reprises, l'une par notre beau-frère, la deuxième par notre soeur.
Les bains sont terminés, le couvert se dresse, une dernière cigarette avant de passer à table, la tartiflette est prête.
Un silence inhabituel apparaît; le plat est délicieux.
Samedi 11 février 2012 à 17:33
Un sex-shop vient d'ouvrir à moins de 100 m d'une école.
Sans vouloir interdire l'existence de ces commerces, je trouve que là, l'emplacement est choquant.
Bien sûr, le sexe et son commerce font parti de la vie. Il est vrai aussi que les enfants en savent beaucoup plus sur la question qu'on n'en savait à leyr âge, mais quand même, je trouve que ce n'est pas une raison pour leur imposer ce commerce, juste devant leur école!
Déjà, rien que pour des raisons de sécurité. Bon, il n'y a pas que des pervers (heureusement!) qui fréquentent ces lieux, mais la composition de la clientèle que pourrait amener ce commerce n'est pas compatible avec le côtoiement d'une école. C'est la porte ouverte aux pédophiles et compagnie.
Je pense qu'il y a d'autres endroits, plus approprié, moins dérangeant que la proximité d'une école pour l'ouverture d'un sex-shop.
Tant qu'on y est, pourquoi pas faire l'école dans une maison close!!!
Et vous, qu'en pensez-vous?
Sans vouloir interdire l'existence de ces commerces, je trouve que là, l'emplacement est choquant.
Bien sûr, le sexe et son commerce font parti de la vie. Il est vrai aussi que les enfants en savent beaucoup plus sur la question qu'on n'en savait à leyr âge, mais quand même, je trouve que ce n'est pas une raison pour leur imposer ce commerce, juste devant leur école!
Déjà, rien que pour des raisons de sécurité. Bon, il n'y a pas que des pervers (heureusement!) qui fréquentent ces lieux, mais la composition de la clientèle que pourrait amener ce commerce n'est pas compatible avec le côtoiement d'une école. C'est la porte ouverte aux pédophiles et compagnie.
Je pense qu'il y a d'autres endroits, plus approprié, moins dérangeant que la proximité d'une école pour l'ouverture d'un sex-shop.
Tant qu'on y est, pourquoi pas faire l'école dans une maison close!!!
Et vous, qu'en pensez-vous?
Samedi 4 février 2012 à 16:30
Présentation de cette nouvelle catégorie:
Elle y ressemble, mais ce n'est pas la même chose que la catégorie "textes écrits par moi-même"
Dans "textes écrit par moi-même" ce sont des textes qui ne relèvent QUE de mon imagination, quant à "Eclats de vie (écrit par moi-même)", il s'agit plutôt de mes pensées, de ce que je ressens intérieurement par rapport à telle ou telle chose et ces écrits sont plus rattachés à la réalité, et même s'il peut y avoir un peu d'imaginaire, ces éclats sont des morceaux de ma vie.
Elle y ressemble, mais ce n'est pas la même chose que la catégorie "textes écrits par moi-même"
Dans "textes écrit par moi-même" ce sont des textes qui ne relèvent QUE de mon imagination, quant à "Eclats de vie (écrit par moi-même)", il s'agit plutôt de mes pensées, de ce que je ressens intérieurement par rapport à telle ou telle chose et ces écrits sont plus rattachés à la réalité, et même s'il peut y avoir un peu d'imaginaire, ces éclats sont des morceaux de ma vie.