Depuis le dimanche 18 mars 2012, 11h18, me revoilà une troisième fois tata (rebaptisé tata G par l'aînée), d'une petite Flora, 48.5 cm 3.410 kg, une dent aperçue le 23 et un cri / pleur qui doit bien dépassé les décibels autorisés
Des nouvelles de la grande soeur et du grand frère :
- Amalia, 28 mois et 2 jours, une vraie petite mère poule, ne s'approche pas qui veut des deux petits. Piplette professionnelle, accessoirement clown infatigable devant son frère. Rentre à l'école en septembre. A très hâte que son frère marche, elle lui a dit l'autre jour alors qu'on le tenait pour qu'il essaie de marcher "debout mass" (traduction : "debout marche!)
- Timéo, 11 mois et 27 jours, chouineur professionnel qui a laissé ce bruyant métier depuis qu'il a été chez le coiffeur (sa frange lui tombait sur les yeux ) pse tient assis tout seul depuis quelques semaines mais ne s'y met pas tout seul. Ne marche pas même quand on le tient, un problème aux hanches est soupçonné, vomit souvent lorsqu'il est assis. Croit profondément que TOUT ce qu'il l'entoure se mange. Commence à dire quelques mots avec une préférence pour les mots "mam mam, à pable" ( traduction : mam : manger à pable : à table ), adore sa grande soeur, un peu jaloux de la petite, très charmeur, fait des clins d'oeil en veux-tu en voilà, en bref un futur briseur de coeur tout comme sa soeur
La vie de famille :
Les parents : sont en break (enfin break, c'est vite dit, ils n'ont jamais été autant ensemble depuis qu'ils sont "séparés" depuis le début d'année, donc la cohabitation (ma soeur + les 3 petits) pas toujours facile se poursuit tant bien que mal.
L'autre pingouin (mon beauf, (pardon à tout les pingouins)) a cru que ma soeur reviendrait juste après l'accouchement et croit toujours qu'elle va revenir d'ici 2-3 mois. S'est merveilleusement bien occupé des deux petits lorsqu'elle était à la maternité, n'en fout plus une depuis qu'elle est rentrée.
Elle, ne veut pas retourne là-bas mais comme elle a du mal à trouver un appart' elle se tâte.
Aufildemavie
Ma vie
Mercredi 28 mars 2012 à 18:13
Mercredi 14 mars 2012 à 21:25
En Amérique, un père, excédé par les mauvaises notes de son fils, l'oblige à afficher ses mauvaises notes à une intersection très fréquentée.
Il espère ainsi faire réagir son fils pour que son niveau scolaire remonte.
Maintenant reste à savoir si la méthode est bonne et efficace.
il s'agit quand même d'humiliation. Si le gamin remonte ses notes, ok c'est bien, c'est le but, mais le fera t-il pour:
- ne pas avoir à retourner afficher ses notes?
- essayer vraiment de s'en sortir dans ses études et espérer avoir un boulot plus tard?
Est-ce que la motivation par l'humiliation est saine? Productive?
Qui a le plus honte des mauvaises notes? L'enfant/ado? Les parents?
Sûrement que cet acte part d'un bon sentiment, mais la seule personne capable de s'aider est l'enfant/ado en difficulté, non. Si l'enfant/ado ne décide pas lui-même de s'en sortir, qu'il n'a pas le déclic, les parents l'école pourront faire tout ce qu'ils veulent, rien n'y changera.
Par contre, une fois que l'enfant/ado a eu le déclic, ils peuvent, ensemble l'aider à remonter la pente. Je comprends bien, que dans le cas de ce père américain, il aide son fils à avoir le déclic, qu'il prenne conscience de la gravité de la situation, mais je ne pense pas que la méthode soit la bonne et à part supposer qu'il existe peut-être des aides aux devoirs, des structures pour élèves en difficultés, qu'il y est peut-être allé mais que tout ces adultes référents ont baissé les bras, je ne connais pas non plus LA méthode à appliquer.
La parole est à vous, REAGISSEZ!
Il espère ainsi faire réagir son fils pour que son niveau scolaire remonte.
Maintenant reste à savoir si la méthode est bonne et efficace.
il s'agit quand même d'humiliation. Si le gamin remonte ses notes, ok c'est bien, c'est le but, mais le fera t-il pour:
- ne pas avoir à retourner afficher ses notes?
- essayer vraiment de s'en sortir dans ses études et espérer avoir un boulot plus tard?
Est-ce que la motivation par l'humiliation est saine? Productive?
Qui a le plus honte des mauvaises notes? L'enfant/ado? Les parents?
Sûrement que cet acte part d'un bon sentiment, mais la seule personne capable de s'aider est l'enfant/ado en difficulté, non. Si l'enfant/ado ne décide pas lui-même de s'en sortir, qu'il n'a pas le déclic, les parents l'école pourront faire tout ce qu'ils veulent, rien n'y changera.
Par contre, une fois que l'enfant/ado a eu le déclic, ils peuvent, ensemble l'aider à remonter la pente. Je comprends bien, que dans le cas de ce père américain, il aide son fils à avoir le déclic, qu'il prenne conscience de la gravité de la situation, mais je ne pense pas que la méthode soit la bonne et à part supposer qu'il existe peut-être des aides aux devoirs, des structures pour élèves en difficultés, qu'il y est peut-être allé mais que tout ces adultes référents ont baissé les bras, je ne connais pas non plus LA méthode à appliquer.
La parole est à vous, REAGISSEZ!
Jeudi 8 mars 2012 à 8:00
Un seul jour nous est dédié, c'est magnifique. Un seul jour sur 365, voire 366 c'est peu!!! (oui on n'est jamais contentes )
Mercredi 7 mars 2012 à 15:38
Mes rêves, qu'ils soient de la nuit, ou d'une sieste, sont très souvent farfelus, inimaginable, terrorrisant parfois, j'ai donc décidé de les partager avec vous, en espérant que vous vous amuserez bien à essayer de vous imaginer la situation. (Ah si je savais dessinné, ça aurait été beaucoup plus simple)
NUIT DU DIMANCHE 4 MARS AU LUNDI 5 MARS 2012
Je filme un épisode télé de Tchoupi et doudou. Je me retrouve dans un bâtiment en ruine, je cherche à me planquer, je vois un serpent, j'essaie de le distancer, je n'y arrive pas, il me mord à la cheville/sur le pied. Pendant la morsure un code et homme apparaissent.
Le code est celui de l'antidote qui soignera ma morsure.
L'homme est équipé d'un attirail qui ressemble à un compas géant. Avec ça, il prend les mesures de mon pied en m'écrivant dessus et me demande si je veux les acheter. Je répond oui et me retrouve avec claquettes épaisses qui sont censées me protéger des morsures de serpents.
(deuxième fois en 1 semaine que je rêve de l'épisode du serpent)
LUNDI 28 MARS 2011 SIESTE
Je suis dans l'ancienne maison de mes grands-parents. A l'étage du dessous et au premier, il y a du monde, des gens de la famille. Ca sonne à la porte d'entrée, j'étais partie pour aller faire mes besoins mais je vais ouvrir.
Je me retrouve sur une plage bondée de monde, mais bondée de chez bondée. Je suis assise sur le sable avec à côté de moi soit mon ancienne prof d'anglais de BEP soit une ancienne aide-ménagère à ma grand-mère je ne sais plus. On discute tranquillement de tout et de rien.
Prés de nous, un maître-nageur fait des grands signes, mais personne n'a l'air de paniqué.
Face à nous du côté gauche, de grosses vagues se soulèvent,mais jamais elles ne se referment (des gens marchent dans le creux des vagues sans jamais être ni touchés ni mouillés par la vagues), c'est joli et impressionnant à la fois. Je dis à la personne à côté de moi, elles doivent faire à peu prés 4 fois la mesure d'une personne d'1m50/1m53.
Ensuite je me lève et me dirige vers l'arrière du côté de droit, j'étais parti chercher une glace. Tout à coup je pense à ma petite soeur, je la cherche du regard, l'appelle, lui crie de ne pas se baigner que c'est dangereux.
A ce moment-là deux jeunes filles assises sur leurs serviettes me disent "mais non, n'importe quoi, elle peut se baigner il n'y aucun danger"
Quelques pas plus tard, j'aperçois ma mère et vais la trouver en lui racontant la scène.
Et ensuite je me suis réveillée.
NUIT DU DIMANCHE 4 MARS AU LUNDI 5 MARS 2012
Je filme un épisode télé de Tchoupi et doudou. Je me retrouve dans un bâtiment en ruine, je cherche à me planquer, je vois un serpent, j'essaie de le distancer, je n'y arrive pas, il me mord à la cheville/sur le pied. Pendant la morsure un code et homme apparaissent.
Le code est celui de l'antidote qui soignera ma morsure.
L'homme est équipé d'un attirail qui ressemble à un compas géant. Avec ça, il prend les mesures de mon pied en m'écrivant dessus et me demande si je veux les acheter. Je répond oui et me retrouve avec claquettes épaisses qui sont censées me protéger des morsures de serpents.
(deuxième fois en 1 semaine que je rêve de l'épisode du serpent)
LUNDI 28 MARS 2011 SIESTE
Je suis dans l'ancienne maison de mes grands-parents. A l'étage du dessous et au premier, il y a du monde, des gens de la famille. Ca sonne à la porte d'entrée, j'étais partie pour aller faire mes besoins mais je vais ouvrir.
Je me retrouve sur une plage bondée de monde, mais bondée de chez bondée. Je suis assise sur le sable avec à côté de moi soit mon ancienne prof d'anglais de BEP soit une ancienne aide-ménagère à ma grand-mère je ne sais plus. On discute tranquillement de tout et de rien.
Prés de nous, un maître-nageur fait des grands signes, mais personne n'a l'air de paniqué.
Face à nous du côté gauche, de grosses vagues se soulèvent,mais jamais elles ne se referment (des gens marchent dans le creux des vagues sans jamais être ni touchés ni mouillés par la vagues), c'est joli et impressionnant à la fois. Je dis à la personne à côté de moi, elles doivent faire à peu prés 4 fois la mesure d'une personne d'1m50/1m53.
Ensuite je me lève et me dirige vers l'arrière du côté de droit, j'étais parti chercher une glace. Tout à coup je pense à ma petite soeur, je la cherche du regard, l'appelle, lui crie de ne pas se baigner que c'est dangereux.
A ce moment-là deux jeunes filles assises sur leurs serviettes me disent "mais non, n'importe quoi, elle peut se baigner il n'y aucun danger"
Quelques pas plus tard, j'aperçois ma mère et vais la trouver en lui racontant la scène.
Et ensuite je me suis réveillée.
Jeudi 1er mars 2012 à 16:37
On m'avait dit :
pleure si t'as mal
et je n'ai pas pu
On m'avait dit :
le temps adoucira ta peine et j'ai attendu
On me dit :
il ne faut pas vivre dans le passé et aller de l'avant
et je vis un jour, survit le lendemain
On me dit :
il faut aller de l'avant
et j'y vais un pas en avant deux en arrière
MAIS
On ne m'a jamais dit :
la douleur ne s'estompe jamais et devient même plus forte au fil des jours
On ne m'a jamais dit :
jamais tu n'oublieras la peine que tu as
On ne m'a jamais dit :
jamais le chagrin s'en ira
On ne m'a jamais dit : tes larmes refoulées couleront sans prévenir
ET POURTANT
l'absence
la douleur
les larmes
c'est bien ce que je ressens.