Demain dés l'aube, à l'heure où
le soleil se lève.
Je viendrai te voir. Vois-tu, je sais
que tu attends ma visite.
Je te parlerai.
Je t'écouterai.
Sans bruit sans jugement.
Par contrainte, tu me laisseras seule.
Je serais triste lors de tes déplacements.
Je ne cesserai d'attendre ton retour,
Et quand tu reviendras,
Je serais là et ensemble nous
fêterons nons retrouvailles.
Aufildemavie
Ma vie
Dimanche 13 mars 2011 à 18:03
Samedi 12 mars 2011 à 18:02
L'hiver, nous irons à la montagne,
nous skierons là où la neige est éternelle,
dans le tourbillon des flocons tombants
nous chahuterons comme des enfants
Tu seras lassé de mes jeux enfantins
alors tu m'inviteras dans ce chalet chaleureux
à partager autour d'un café
nos confidences et nos secrets les plus lointains.
Puis tu rallumeras la cheminée
et dans le bruit du crépitement des bûches
je découvrirais ta plus grande douleur.
Et tu me feras promettre sur l'honneur,
malgré la confiance que tu me porte
de ne jamais révéler cette partie de ta vie.
nous skierons là où la neige est éternelle,
dans le tourbillon des flocons tombants
nous chahuterons comme des enfants
Tu seras lassé de mes jeux enfantins
alors tu m'inviteras dans ce chalet chaleureux
à partager autour d'un café
nos confidences et nos secrets les plus lointains.
Puis tu rallumeras la cheminée
et dans le bruit du crépitement des bûches
je découvrirais ta plus grande douleur.
Et tu me feras promettre sur l'honneur,
malgré la confiance que tu me porte
de ne jamais révéler cette partie de ta vie.
Vendredi 11 mars 2011 à 22:01
C'était dans la nuit brune
le souffle du vent ondulait les branches des arbres
au rythme du murmure des vagues
Le cri d'un hibou solitaire
orchestrait ce spectacle de nuit
où Dame Natur interprêtait le premier rôle
Quelques nuages se dispersèrent
et laissèrent passer un rai de lumière
c'est dans cet instant de pûreté
que je m'écriai
Je viens voir la lune.
le souffle du vent ondulait les branches des arbres
au rythme du murmure des vagues
Le cri d'un hibou solitaire
orchestrait ce spectacle de nuit
où Dame Natur interprêtait le premier rôle
Quelques nuages se dispersèrent
et laissèrent passer un rai de lumière
c'est dans cet instant de pûreté
que je m'écriai
Je viens voir la lune.
Lundi 7 mars 2011 à 22:03
L'orage qui grondait, faisait danser d'inquiétantes ombres sur les murs de notre salon,
en attendant l'accalmie, elle cousait prés du feu, des napperons en dentelle.
L'ambiance qui régnait dans la pièce était propice aux confidences.
Elle se souvenait aussi des grands moments de notre histoire.
"Te souviens-tu?" Me disait-elle à chacun de ses souvenirs.
Mon sourire, mon regard acquiesceur lui valait bien plus que de simples mots.
Par les souvenirs du coeurs, nous étions revenu au temps passé.
L'orage s'était tu. Comme pour nous laisser savourer solennellement ce doux voyagr.
Les ombres inquiétantes avaient maintenant pris l'allure d'indiscrets témoins venus sans bruits,
[contempler la beauté de la scène que nous vivions.
Le retour du silence laissa place à la fusion de nos pensées.
en attendant l'accalmie, elle cousait prés du feu, des napperons en dentelle.
L'ambiance qui régnait dans la pièce était propice aux confidences.
Elle se souvenait aussi des grands moments de notre histoire.
"Te souviens-tu?" Me disait-elle à chacun de ses souvenirs.
Mon sourire, mon regard acquiesceur lui valait bien plus que de simples mots.
Par les souvenirs du coeurs, nous étions revenu au temps passé.
L'orage s'était tu. Comme pour nous laisser savourer solennellement ce doux voyagr.
Les ombres inquiétantes avaient maintenant pris l'allure d'indiscrets témoins venus sans bruits,
[contempler la beauté de la scène que nous vivions.
Le retour du silence laissa place à la fusion de nos pensées.
Jeudi 3 mars 2011 à 21:37
Je me promène prés de l'étang,
là où nous allions si souvent,
là où nous rêvions chacun en silence.
Te reverrai-je?
Dans le calme de cette soirée d'été
la question me revient sans cesse.
Sous le ciel étoilé, je rêve toute éveillée
dans l'espoir de te revoir.
Je me promène pour ne pas dormir.
Le sommeil est devenu un ennemi qui m'assome
de rêves douloureux par la frustration qu'ils m'imposent.
Quand te reverrai-je?
Je m'assieds prés de l'étang,
j'observe sans volonté le payasage qui m'entoure.
L'eau reflète ton visage,
j'accuse mon imagination,
ta main sur mon épaule l'innocente.
A ses côtés, je termine ma ballade
le coeur léger.
Cette nuit-là, j'ai retrouvé un ami.
là où nous allions si souvent,
là où nous rêvions chacun en silence.
Te reverrai-je?
Dans le calme de cette soirée d'été
la question me revient sans cesse.
Sous le ciel étoilé, je rêve toute éveillée
dans l'espoir de te revoir.
Je me promène pour ne pas dormir.
Le sommeil est devenu un ennemi qui m'assome
de rêves douloureux par la frustration qu'ils m'imposent.
Quand te reverrai-je?
Je m'assieds prés de l'étang,
j'observe sans volonté le payasage qui m'entoure.
L'eau reflète ton visage,
j'accuse mon imagination,
ta main sur mon épaule l'innocente.
A ses côtés, je termine ma ballade
le coeur léger.
Cette nuit-là, j'ai retrouvé un ami.