Aufildemavie
Ma vie
Mercredi 21 décembre 2011 à 20:08
Comme j''étais occupée à filmer les petits cabanons (vidéo que je n'ai pas pu finir, enregistrer par manque de batterie) ma mère en fauteuil roulant se rouler tant bien que mal toute seule. Et là, sortant de nulle-part, j'entends de la part d'un mec 30-35 ans : " c'est pas de notre faute si t'es en fauteuil, vas-y roule toi grosse merde"!!!!!
Bon on n'a pas répondu parce que ça en vaut pas la peine, puis on a surtout été surprise même si on a l'habitude des insultes (voir des crachats), on en a même rigolé tout de suite après, mais bon je ne comprends pas (si tant qu'il y a à comprendre quelque chose) en quoi ça peut les gêner les gens, que les gens soient gros maigres petit grand en fauteuil pas en fauteuil .... et à quoi ça les avance d'insulter les gens, surtout quand les insultes "ne sont pas en rapport avec le "défaut" "le problème" de la personnes insultée, ce n'est pas très cohérent.
A quoi ça leur sert? Pourquoi le font-ils?
Je ne sais pas, mais moi, ainsi que mes soeurs, ça ne nous est jamais venu à l'idée d'insulter qui que ce soit. Enfin, si ma soeur une fois à 8 ans a insulté ma mère d'un bien joli nom, la correction a été belle aussi, elle s'en souvient encore, d'ailleurs quand notre petite soeur lorsqu'elle commençait à parler et remarquer les différences physiques des gens et qu'elle commençait elle-aussi à dire à ma mère certaines choses ma soeur la rappelait à l'ordre avant même que ma mère n'ait le temps d'ouvrir la bouche.
Je voulais mettre un texte que j'avais vu il y a 7 ans lorsque mon grand-père était hospitalisé en soins palliatifs au V240, qui pour ce que je m'en rappelle s'accorderait bien à cet article, malheureusement je ne me souviens pas du titre ni de l'auteur, juste que l'occurence "les gens" était assez souvent répétée et je ne le retrouve pas sur le net, alors si parmi quelqu'un voit de quoi je parle et sait où je peux le trouver, je vous remercie d'avance de me faire parvenir le lien.
Mercredi 21 décembre 2011 à 14:28
Mardi 20 décembre 2011 à 15:19
- Comme un cadeau !
- C'est à dire ?
- J'ai passé toute la soirée couché sous le sapin !
C'est l'histoire d'un commercial qui part en voyage d'affaire pendant les fêtes de Noël.
Pendant son voyage, il décide d'envoyer un cadeau à sa femme restée en France.
Le colis arrive alors chez son épouse. Elle l'ouvre. C'est un pantalon sur lequel est écrit sur la jambe droite : "Joyeux Noël" et sur la jambe gauche : "Bonne Année".
Au téléphone, sa femme le remercie pour son cadeau et rajoute :
- J'espère que tu viendras me faire la bise entre les fêtes...
Nous sommes le matin du 25 décembre.
Cette année, le Père Noël a vraiment eu tous les problèmes :
Son habit rouge s'est déchiré des les premières cheminées, il s'est chopé une crise de foie en mangeant toutes les friandises que les enfants avaient laissé pour lui au bord de la cheminée, il a aussi la gueule de bois à cause de tout l'Aquavit qu'il s'est tapé pour se réchauffer en plus, deux de ses cerfs ont attrapé la fièvre aphteuse...
Alors ce matin, il est en train de chercher de l'aspirine dans sa pharmacie, lorsque apparaît un éclair de lumière dans le ciel, et ce moment, des trompettes retentissent :
C'est un ange rayonnant de lumière qui arrive, flottant dans l'air avec ses petites ailes blanches. Il dit :
- Père Noël, Père Noël, je t'ai apporte un arbre de Noël magique pour le prochain Noël ! Où je le mets ?
- Tu sais où tu peux te le mettre le sapin ?
Et de cette journée fort mauvaise naquit la joyeuse tradition du petit ange perché au sommet du sapin de Noel.
Lundi 19 décembre 2011 à 13:45
À Noël, la coutume voulait qu'on fasse brûler une grosse bûche, si grosse qu'on lui laissait parfois ses racines. On la mettait au feu en récitant des prières. En la regardant se consumer, on pouvait faire des prédictions sur le nombre de poulets qui allaient naître pendant l'année ou sur les mariages à venir, selon le nombre d'étincelles qu'elle produisait.
On laissait généralement la bûche se consumer pendant trois jours, 6 jours (jusqu'au Nouvel An) ou 12 jours (jusqu'à l'Épiphanie).
On gardait ensuite précieusement la cendre à cause des vertus protectrices qu'on lui prêtait: elle préservait la maison de la maladie, de la foudre, des accidents et des pucerons; elle éloignait les renards, faisait fructifier les récoltes. Avec le temps, les maisons se sont modernisées, les foyers se sont faits de plus en plus discrets, et, par la force des choses, les bûches sont devenues symboliques, prenant la forme des gâteaux que l'on connaît aujourd'hui.
Depuis 1870, la bûche de Noël est un délicieux gâteau fourré de crème au beurre.
Dimanche 18 décembre 2011 à 13:37
L'arbre de Noël regroupe plusieurs symboles montrant les richesses que nous offre la nature : la lumière, les anges, les fruits des vergers, des champs, de la forêt et de la mer. L'étoile qui brille à son faîte annonce la fin du voyage, le havre de paix.
Au XIe siècle, on présentait des scènes appelées Mystères, dont celle du Paradis fort populaire durant l'Avent. Garni de pommes rouges, un sapin symbolisait alors l'arbre du Paradis. Au cours du XVe siècle, les fidèles commencèrent à l'installer dans leurs maisons, le 24 décembre, jour de la fête d'Adam et Ève.
Toutefois, le premier arbre de Noël tel que nous le connaissons, mais sans lumières encore, serait apparu en Alsace en 1521. Il fut ensuite introduit en France par la princesse Hélène de Mecklembourg qui l'apporta à Paris en 1837, après son mariage avec le duc d'Orléans. Au XVIIIe siècle, la coutume du sapin décoré était déjà bien implantée en Allemagne, en France et en Autriche.
En 1841, le prince Albert (originaire d'Allemagne), époux de la reine Victoria, fit dresser un arbre de Noël au château de Windsor, en Angleterre. De la cour, la mode du sapin de Noël se répandit rapidement chez la bourgeoisie et se propagea ensuite chez les gens du peuple. À l'époque victorienne, un beau sapin de Noël devait avoir six hauteurs de branches et être posé sur une table recouverte d'une nappe de damas blanc. On le parait de guirlandes, de bonbonnières et de fleurs en papier.
Son introduction au Canada se fit vers la fin du XVIIIe siècle, avant même qu'il ne devienne une pratique courante en Angleterre. Les divers éléments servant à son ornementation furent d'abord conçus à la maison, avant d'être produits en industrie. Au milieu du XVIIe siècle, l'illumination du sapin se faisait au moyen de petites bougies. Elles seront remplacées, au début du XXe siècle, par des ampoules électriques. D'autres variantes, tels les sapins extérieurs et artificiels, apparaîtront au tournant du XXe siècle.