Aufildemavie

Ma vie

Samedi 26 mars 2011 à 11:30

 C'est ballot!

Il y a quelques temps (assez longtemps), j'ai mis un mot de passe sur mes historiques de conversations msn (avec windows live messenger plus!).
Sauf que maintenant je ne m'en souviens plus, et j'aimerais bien savoir s'il y a un moyen de le récupérer.

J'ai beau essayer plusieurs mots de passes (et de différentes façons) que j'aurais pu mettre mais aucun ne marche.

Si vous avez une astuce, je suis preneuse, merci!


PS:  il ne s'agit pas du mot de passe pour se connecter à msn, celui-là ça va je ne l'ai pas encore oublié.

Vendredi 25 mars 2011 à 15:57

 On est petit, on veut être grand, on est grand, on veut être petit; Pourquoi on veut toujours ce qu'on n'a pas?

Je ne dirais pas non si j'aurais la possibilité de retourner en enfance (et d'y rester). Déjà je retrouverais mes grands-parents aujourd'hui décédés.
Je retrouverais toutes ces petites attentions dont les auteurs sont mes parents ou mes grands-parents.

Peut-être aussi ferais-je différemment ma dure période adolescente. En osant pousser ma gueulante, cognant parfois même si la violence ne sert à rien, elle soulage un peu.
Certains l'auraient bien mérité plutôt deux fois qu'une, comme ce jour en fin de cours d'EPS, on m'avait appelée pour que je vienne m'asseoir sur le banc à l'autre bout du gymnase et qu'une fois assise (car trop conne, je me suis fait avoir), ces couillons (filles et garçons) se sont levés d'un bond pour faire genre basculer le banc (genre jsuis trop lourde qu'ils soient d'un côté et moi de l'autre).
J'avais bien envie de le rebalancer le banc mais je ne sais pas ce qui m'en a empêcher, la timidité, la lassitude ou la fin de l'année scolaire, la dernière de cet enfer-là.
Ah c'est sûr que si ça serait à refaire, je ne serais plus la petite fille docile, bien sage, acceptant en pleine face les insultes.

Malgré tout, c'est quand même une période que je regrette, surtout mon enfance en fait. La période où je n'avais pas à me soucier du lendemain, la période où on s'occupait de moi et pas l'inverse (rassurez-vous, on s'occupe toujours de moi, mais c'est pas pareil), la période où tout ce que j'avais à faire c'était manger jouer dormir.

La période où mes parents n'étaient pas encore divorcés et donc que je voyais mon père. Car même si je dis autour de moi que j'en ai rien à faire de ne plus voir, que ça m'est égal que ça fait 3 ans qu'il ne m'a souhaité ni mon anniversaire ni Noël, de ne l'apercevoir de loin que par pur hasard, en vérité je ne fais que donner le change car bien que ça ne soit pas un père parfait il me manque malgré tout.

La période où j'avais ma chienne, elle m'a été d'un grand secours pendant toutes ces années, la seule à garder les secrets, la seule à me comprendre sans juger.

La période où il n'y avait que mes parents, ma soeur et moi. Comme si l'arrivée de ma petite soeur avait changé chamboulé beaucoup de choses, mais ça m'empêcher pas de l'aimer.

J'ai fais des erreurs, je n'étais pas autonome, mais c'était mieux avant







Mardi 22 mars 2011 à 15:54

 Ils sont amis, 
sûrement pour la vie. 
Mais voilà, 
elle l'aime 
il ne l'aime pas. 
Alors comment faire pour les unir? 
Peut-être faut-il laisser faire le temps 
ou bien pousser le destin à cette union. 
Personne ne le sait. 
Seul l'avenir nous le dira 
Alors? 
Amour toujours 
Amour peut-être.

Lundi 21 mars 2011 à 16:35

Son guidon
est prison,
à bercer pour l'éternité
un enfant qui ne s'endormira jamais
Les balades sont ici nommées
changes et tétées.

Voici enfin son premier mot,
ses parents en son fier,
il devient leur roi.

Bêtise sur bêtise
c'est à présent sa devise.
Ses parents ne sont plus patients
il devient tyran.

Plus tard, une fille
viendra illuminer ses pupilles.
A présent,
ils achètent un appartement.

Un besoin d'argent se fait sentir
Confiant
il en demande à ses parents.

Ils sont à bout
de ne pouvoir joindre les deux bouts.
Aucune ruse n'est possible
pour admettre l'inadmissible.

Ne supportant pas sa première frustration
il a tout cassé dans la maison.
Ses parents en tremblent de peur
devant leur "petit bonheur"








Dimanche 20 mars 2011 à 11:14

 De cette maison surplombant le lac, ne nous viennent 
plus de cris d'enfants. Ils ont laissé place à un grand silence. 
Pourtant la maison n'est pas vide; il n'y a de 
vie que cette vieille dame. 
Chaque jour, chaque soir, elle répète, 
continuellement, comme un rituel, les mêmes gestes. 
Juste avant de se coucher, elle embrasse, sur la 
photo, sa chère descendance, sans oublier son défunt 
mari. 
Au crépuscule qui s'annonce, elle se souvient; 
tantôt complice, où pour de petites bêtises elle couvrait 
ses petis-enfants face à leurs parents, 
tantôt sévère, où excédée par l'attitude d'un adolescent trop 
confiant, la gifle était tombée. 
Alors nostalgique et le sourire aux lèvres, elle s'endormit 
pour la dernière fois.

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