Aufildemavie

Ma vie

Mardi 29 mars 2011 à 15:58

 Mes rêves, qu'ils soient de la nuit, ou d'une sieste, sont très souvent farfelus, inimaginable, terrorrisant parfois, j'ai donc décidé de les partager avec vous, en espérant que vous vous amuserez bien à essayer de vous imaginer la situation. (Ah si je savais dessinné, ça aurait été beaucoup plus simple)


NUIT DU DIMANCHE 4 MARS AU LUNDI 5 MARS 2012

Je filme un épisode télé de Tchoupi et doudou.  Je me retrouve dans un bâtiment en ruine, je cherche à me planquer, je vois un serpent, j'essaie de le distancer, je n'y arrive pas, il me mord à la cheville/sur le pied. Pendant la morsure un code et homme apparaissent.
Le code est celui de l'antidote qui soignera ma morsure.
L'homme est équipé d'un attirail qui ressemble à un compas géant. Avec ça, il prend les mesures de mon pied en  m'écrivant dessus et me demande si je veux les acheter. Je répond oui et me retrouve avec claquettes épaisses qui sont censées me protéger des morsures de serpents.

(deuxième fois en 1 semaine que je rêve de l'épisode du serpent)




LUNDI 28 MARS 2011 SIESTE

Je suis dans l'ancienne maison de mes grands-parents. A l'étage du dessous et au premier, il y a du monde, des gens de la famille. Ca sonne à la porte d'entrée, j'étais partie pour aller faire mes besoins mais je vais ouvrir.

Je me retrouve sur une plage bondée de monde, mais bondée de chez bondée. Je suis assise sur le sable avec à côté de moi soit mon ancienne prof d'anglais de BEP soit une ancienne aide-ménagère à ma grand-mère je ne sais plus. On discute tranquillement de tout et de rien.
Prés de nous, un maître-nageur fait des grands signes, mais personne n'a l'air de paniqué.

Face à nous du côté gauche, de grosses vagues se soulèvent,mais jamais elles ne se referment (des gens marchent dans le creux des vagues sans jamais être ni touchés ni mouillés par la vagues), c'est joli et impressionnant à la fois. Je dis à la personne à côté de moi, elles doivent faire à peu prés 4 fois la mesure d'une personne d'1m50/1m53.

Ensuite je me lève et me dirige vers l'arrière du côté de droit, j'étais parti chercher une glace. Tout à coup je pense à ma petite soeur, je la cherche du regard, l'appelle, lui crie de ne pas se baigner que c'est dangereux.
A ce moment-là deux jeunes filles assises sur leurs serviettes me disent "mais non, n'importe quoi, elle peut se baigner il n'y aucun danger"
Quelques pas plus tard, j'aperçois ma mère et vais la trouver en lui racontant la scène.

Et ensuite je me suis réveillée.

Dimanche 27 mars 2011 à 16:43

 Un nouveau mensuel bientôt sur vos écrans! 

Dans cet article, il y aura des mots et expressions que j'ai lu, mais pas compris et dont j'ai cherché la signification sur le net. Cette rubrique sera mensuelle (enfin je vais tâcher de m'y tenir) et publié le dernier jour de chaque mois.

Et si vous êtes sages et mignons tout pleins, peut-être et je dis bien PEUT-ETRE, il y aura un petit jeu basé sur les mots du mois écoulés pendant la première semaine.

Le jeu est gratuit et il n'y a rien à gagner, juste le plaisir de jouer mais ça évoluera peut-être avec le temps, on ne sait jamais.

DEBUT DU JEU: Vendredi 1er avril 2011, pas d'heure précise (risque coupure internet)
FIN DU JEU: Vendredi 8 avril 2011, pas d'heure précise (risque coupure internet)
Le gagnant sera nommé le  Samedi 9 avril 2011, pas d'heure précise (risque de coupure internet)

phrase réaliste (exemple : le temps est pluvieux, la mère ordonne a ses enfants de se couvrir) =  5 points
phrase irréaliste (exemple: le canard boit ses chaussures avec une éponge) = 3 points
1 point par mot de la liste utilisé + 1 bonus de 10 points si vous utilisez tout les mots de la liste

Pas de point malus pour cette première version

REGLE DU JEU:

Le 31 mars, je publierais un article avec les mots et leurs significations.  
Je choisirais selon la longueur de la liste 1 à 10 mots.
Avec ces mots, vous devrez faire une phrase (ça se compliquera avec le temps).

Pour ce premier numéro de "la démo des mots", la phrase produite avec ces mots n'est pas obligé d'avoir un sens correct, mais par contre devra avoir une structure (sujet+verbe+complément).

Vous avez le droit de mettre:
-à l'infinitif
-au pluriel
-au féminin
-de rajouter des mots.

LONGUEUR MAXIMALE DE LA PHRASE: 30 mots   L'  C' D' à a y N' comptent chacun pour 1 mot.

Si vous avez des questions, n'hésitez pas, c'est le moment de les poser.


VENEZ NOMBREUX ET BON JEU A TOUTES ET A TOUS!

Dimanche 27 mars 2011 à 16:20

http://aufildemavie.cowblog.fr/images/DIVERS/persovirgie.jpg 
C'est pourtant une de mes rares exigeances. Et elle ne me semble pas si compliqué et coûteuse que ça a être respecter. Et pourtant ce n'est pas le cas, la prochaine fois je vais essayer le charabia, on me comprendra et m'écoutera peut-être mieux comme ça.

Samedi 26 mars 2011 à 11:30

 C'est ballot!

Il y a quelques temps (assez longtemps), j'ai mis un mot de passe sur mes historiques de conversations msn (avec windows live messenger plus!).
Sauf que maintenant je ne m'en souviens plus, et j'aimerais bien savoir s'il y a un moyen de le récupérer.

J'ai beau essayer plusieurs mots de passes (et de différentes façons) que j'aurais pu mettre mais aucun ne marche.

Si vous avez une astuce, je suis preneuse, merci!


PS:  il ne s'agit pas du mot de passe pour se connecter à msn, celui-là ça va je ne l'ai pas encore oublié.

Vendredi 25 mars 2011 à 15:57

 On est petit, on veut être grand, on est grand, on veut être petit; Pourquoi on veut toujours ce qu'on n'a pas?

Je ne dirais pas non si j'aurais la possibilité de retourner en enfance (et d'y rester). Déjà je retrouverais mes grands-parents aujourd'hui décédés.
Je retrouverais toutes ces petites attentions dont les auteurs sont mes parents ou mes grands-parents.

Peut-être aussi ferais-je différemment ma dure période adolescente. En osant pousser ma gueulante, cognant parfois même si la violence ne sert à rien, elle soulage un peu.
Certains l'auraient bien mérité plutôt deux fois qu'une, comme ce jour en fin de cours d'EPS, on m'avait appelée pour que je vienne m'asseoir sur le banc à l'autre bout du gymnase et qu'une fois assise (car trop conne, je me suis fait avoir), ces couillons (filles et garçons) se sont levés d'un bond pour faire genre basculer le banc (genre jsuis trop lourde qu'ils soient d'un côté et moi de l'autre).
J'avais bien envie de le rebalancer le banc mais je ne sais pas ce qui m'en a empêcher, la timidité, la lassitude ou la fin de l'année scolaire, la dernière de cet enfer-là.
Ah c'est sûr que si ça serait à refaire, je ne serais plus la petite fille docile, bien sage, acceptant en pleine face les insultes.

Malgré tout, c'est quand même une période que je regrette, surtout mon enfance en fait. La période où je n'avais pas à me soucier du lendemain, la période où on s'occupait de moi et pas l'inverse (rassurez-vous, on s'occupe toujours de moi, mais c'est pas pareil), la période où tout ce que j'avais à faire c'était manger jouer dormir.

La période où mes parents n'étaient pas encore divorcés et donc que je voyais mon père. Car même si je dis autour de moi que j'en ai rien à faire de ne plus voir, que ça m'est égal que ça fait 3 ans qu'il ne m'a souhaité ni mon anniversaire ni Noël, de ne l'apercevoir de loin que par pur hasard, en vérité je ne fais que donner le change car bien que ça ne soit pas un père parfait il me manque malgré tout.

La période où j'avais ma chienne, elle m'a été d'un grand secours pendant toutes ces années, la seule à garder les secrets, la seule à me comprendre sans juger.

La période où il n'y avait que mes parents, ma soeur et moi. Comme si l'arrivée de ma petite soeur avait changé chamboulé beaucoup de choses, mais ça m'empêcher pas de l'aimer.

J'ai fais des erreurs, je n'étais pas autonome, mais c'était mieux avant







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