Aufildemavie

Ma vie

Vendredi 22 avril 2011 à 11:54

 Voici mon rêve de cette nuit.
 
Tout le long de cette scène, il fait noir, mais ce n'est pas la nuit, et la lumière de la pièce n'est pas allumée.
D'abord je suis dans la salle à manger. Il y a un garçon, plutôt jeune mais je vois pas son visage par contre je sais qu'il est brun, il a un tee-shirt blanc et un jean.
Je l'aide à tirer le canapé-lit (qui est dans la salle à manger) et à mettre les draps, mais il n'y a que lui qui tiens le draps. Moi je suis un peu à l'écart, j'attends sans savoir quoi faire, comme si je n'étais pas chez moi.
Une fille arrive, avec des sortes de planchettes où dessus il y a des dessins, ou plutôt des pictogrammes coloré avec en légende des écritures françaises.  Elle m'explique le nom de chaque pictogramme. Apparemment ça serait un code d'une langue étrangère, une langue spatiale.
 
Ensuite je me retrouve dans une immense boîte en métal, fermée, sans fenêtre ni porte.C'était un peu comme une sorte de prison. On est plusieurs à l'intérieur mais les gens paraissent petit. Il pleut. Un moment donné, je vois un oeuf sur le plat dans une assiette. Je le mets sur le rebord de la fenêtre (une fenêtre est apparue) et il cuit.
Je ne sais pas comment, la boîte s'est ouverte mais il y en avait une autre collée à la mienne, des gens me demandent comment sortir. Il faut en fait pousser un mur de la boîte, le faire tourner (comme pour les fenêtres qui s'ouvrent en biais vers nous) mais c'est difficile car on se retrouve dans une autre boîte à chaque fois.
 
Avec le garçon et la fille du début, on se rend chez quelqu'un. Apparemment c'est au bout d'une forêt.
Le garçon sonne. Un homme,il a des lunettes, environ la cinquantaine, cheveux et moustache grisonnant nous ouvre.
A notre vue, il appelle ce qui serait peut-être sa femme. Là elle arrive mais en transparence, comme si elle n'était pas prévue dans le rêve, mais peu à peu elle retrouve une apparence normale.  Elle sort devant la porte, devient presque comme une sorcière. Elle tend ses mains vers moi, ses bouts de doigts deviennent blanc lumineux. Elle m'a jeté un sort.
 
Maintenant j'ai à peu prés l'apparence de la fée clochette. Par contre aucun son ne sort de ma bouche. Je suis dans la cuisine avec le garçon et la fille du début, eux aussi sont transformées avec d'autres personnes que je ne vois pas. J'essaie de taper des mains pour qu'on me remarque, ça ne fait aucun bruit. Aprés plusieurs essais, je tape sur une commode ça fait un petit "POUM!" alors j'essaie de parler, un son sort de ma bouche, c'est un son grave, pas très clair, je dis donc sans l'intention de le dire:
"Maman" et le rêve se termine.
 
 
 

Mardi 12 avril 2011 à 14:58

 Ces VDM (Vie De Merde) ne sont pas de moi mais étourdie que je suis, elles auraient pu m'arriver:
 
Aujourd'hui, assoiffé au beau milieu de la nuit, je descends à la hâte dans le noir pour boire un verre. Le premier qui me passe sous la main était celui utilisé deux heures plus tôt. Après y avoir mis une bonne dose de liquide vaisselle, je m'étais dit, par flemme, que je le laverais le lendemain... VDM


Aujourd'hui, premier jour de révision. Je suis motivée et en plus, j'ai tout prévu pour cette année : j'ai surligné tout ce qui était important dans mon cours. Sauf qu'aujourd'hui, je me suis rendu compte que mon encre s'effaçait sous le jaune fluo. VDM


Aujourd'hui, intéressée par un garçon, je tente le jeu de l'admiratrice secrète en voulant coincer un petit mot sous ses essuie-glace. Tellement obnubilée par le fait qu'il ne devait pas me voir de sa fenêtre, je n'ai pas vu qu'il était justement dans sa voiture, avec son meilleur ami. VDM 
ça, ça m'est arrivé mais différemment. J'étais en BEP et amoureuse d'un garçon (qui bien entendu ne m'aimait pas mais plus con que moi tu meurs), alors que j'étais toute seule dans la classe (on était en MFR) j'ai glissé un mot dans sa trousse et il est rentré dans la classe au même moment accompagné de ses potes. GRAND MOMENT DE SOLITUDE

Aujourd'hui, je prépare un gâteau qui nécessite 150 grammes de beurre, et mon copain s'occupe de beurrer le plat. Après dix minutes d'acharnement, j'ai compris qu'il beurrait le plat avec les 150 grammes de beurre et qu'il n'arrivait donc pas à tout étaler. VDM
quand on sait que la première fois où j'ai fais cuire des steacks (10 ans environ, en camps rouloutte avec le centre de loisirs, une dizaine de convives dans mon groupe) j'ai mis quasiment la moitié de la bouteille d'huile dans la poêle, on peut aisément penser que j'aurais pu tout aussi bien beurré le moule avec les 150 grammes de beurre.
 
 

Mardi 12 avril 2011 à 14:31

 Je ne m'endors et dors bien qu'avec deux mouchoirs minimum (propre et en tissu (un que je tiens à la main et un sur ma chaise)) ainsi que mon perroquet (en peluche) et/ou mon dauphin (en peluche aussi)

Quand l'un de mes proches ou moi-même est à l'hôpital,  je fais un calcul avec les numéros de la chambre, si c'est égal ou supérieur à 10, l'issue sera bonne, sinon ça sera aggravation ou décés. Ironie du sort, je n'ai jamais eu tort.

Je n'aime pas qu'on me fasse plus de 2 bises, et encore, je tolère ces deux-là par politesse.

Je m'arrange pour toujours finir la page ou le chapitre du livre que je suis entrain de lire avant de passer à une autre activité.

Je ne peux pas aller à une fête foraine sans manger de chichis.

Je mange obligatoirement des frites quand je vais au restaurant ou à la cafèt'.

Je ne supporte pas de rester sur le sable quand je vais à la plage, sauf quand les vagues sont trop fortes.

Je n'aime pas travailler dans une entreprise dans laquelle j'ai déjà occupé un poste (enfin, si ça devrait se présenter, je le ferais quand même).

Ma boisson de pique-nique est généralement du coca, ou autres boissons du genre, mais jamais de l'eau (sauf si je peux pas faire autrement)

Quand je vais en ville peu importe la raison, je dois boire un coup (café,diabolo...) dans un café, sinon c'est comme si je n'étais pas aller en ville.

Autant que possible, je bois un café à chaque fois que je vais chez ma soeur. 

Je vais au wc à chaque fois que je rentre/sors de l'endroit où je suis.

Je n'aime pas qu'on me parle quand je suis en pleine lecture.




Lundi 4 avril 2011 à 21:13

 Je viens de m'installer à l'ordi, et en voulant monter le son pour écouter de la musique, il y a un truc bizarre qui se produit:

Une fois que je monte le son et AVANT même que je lance la musique, un son répété se produit.

J'ai quand même essayé d'écouter la musique en pensant que le bruit s'arrêterait, mais non ça continue toujours.

Ca fait comme un bruit de bisous 3-4 fois, ça s'arrête et ça recommence.  

Si vous avez une idée de comment régler ce problème bizarre, je vous en serez reconnaissante, merci.


RECTIFICATION; aprés un redémarrage, tout est rentré dans l'ordre pour combien de temps? Mystère et boule de gomme

Mardi 29 mars 2011 à 15:58

 Mes rêves, qu'ils soient de la nuit, ou d'une sieste, sont très souvent farfelus, inimaginable, terrorrisant parfois, j'ai donc décidé de les partager avec vous, en espérant que vous vous amuserez bien à essayer de vous imaginer la situation. (Ah si je savais dessinné, ça aurait été beaucoup plus simple)


NUIT DU DIMANCHE 4 MARS AU LUNDI 5 MARS 2012

Je filme un épisode télé de Tchoupi et doudou.  Je me retrouve dans un bâtiment en ruine, je cherche à me planquer, je vois un serpent, j'essaie de le distancer, je n'y arrive pas, il me mord à la cheville/sur le pied. Pendant la morsure un code et homme apparaissent.
Le code est celui de l'antidote qui soignera ma morsure.
L'homme est équipé d'un attirail qui ressemble à un compas géant. Avec ça, il prend les mesures de mon pied en  m'écrivant dessus et me demande si je veux les acheter. Je répond oui et me retrouve avec claquettes épaisses qui sont censées me protéger des morsures de serpents.

(deuxième fois en 1 semaine que je rêve de l'épisode du serpent)




LUNDI 28 MARS 2011 SIESTE

Je suis dans l'ancienne maison de mes grands-parents. A l'étage du dessous et au premier, il y a du monde, des gens de la famille. Ca sonne à la porte d'entrée, j'étais partie pour aller faire mes besoins mais je vais ouvrir.

Je me retrouve sur une plage bondée de monde, mais bondée de chez bondée. Je suis assise sur le sable avec à côté de moi soit mon ancienne prof d'anglais de BEP soit une ancienne aide-ménagère à ma grand-mère je ne sais plus. On discute tranquillement de tout et de rien.
Prés de nous, un maître-nageur fait des grands signes, mais personne n'a l'air de paniqué.

Face à nous du côté gauche, de grosses vagues se soulèvent,mais jamais elles ne se referment (des gens marchent dans le creux des vagues sans jamais être ni touchés ni mouillés par la vagues), c'est joli et impressionnant à la fois. Je dis à la personne à côté de moi, elles doivent faire à peu prés 4 fois la mesure d'une personne d'1m50/1m53.

Ensuite je me lève et me dirige vers l'arrière du côté de droit, j'étais parti chercher une glace. Tout à coup je pense à ma petite soeur, je la cherche du regard, l'appelle, lui crie de ne pas se baigner que c'est dangereux.
A ce moment-là deux jeunes filles assises sur leurs serviettes me disent "mais non, n'importe quoi, elle peut se baigner il n'y aucun danger"
Quelques pas plus tard, j'aperçois ma mère et vais la trouver en lui racontant la scène.

Et ensuite je me suis réveillée.

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