Aufildemavie

Ma vie

Mercredi 7 mars 2012 à 15:38

 Mes rêves, qu'ils soient de la nuit, ou d'une sieste, sont très souvent farfelus, inimaginable, terrorrisant parfois, j'ai donc décidé de les partager avec vous, en espérant que vous vous amuserez bien à essayer de vous imaginer la situation. (Ah si je savais dessinné, ça aurait été beaucoup plus simple)


NUIT DU DIMANCHE 4 MARS AU LUNDI 5 MARS 2012

Je filme un épisode télé de Tchoupi et doudou.  Je me retrouve dans un bâtiment en ruine, je cherche à me planquer, je vois un serpent, j'essaie de le distancer, je n'y arrive pas, il me mord à la cheville/sur le pied. Pendant la morsure un code et homme apparaissent.
Le code est celui de l'antidote qui soignera ma morsure.
L'homme est équipé d'un attirail qui ressemble à un compas géant. Avec ça, il prend les mesures de mon pied en  m'écrivant dessus et me demande si je veux les acheter. Je répond oui et me retrouve avec claquettes épaisses qui sont censées me protéger des morsures de serpents.

(deuxième fois en 1 semaine que je rêve de l'épisode du serpent)




LUNDI 28 MARS 2011 SIESTE

Je suis dans l'ancienne maison de mes grands-parents. A l'étage du dessous et au premier, il y a du monde, des gens de la famille. Ca sonne à la porte d'entrée, j'étais partie pour aller faire mes besoins mais je vais ouvrir.

Je me retrouve sur une plage bondée de monde, mais bondée de chez bondée. Je suis assise sur le sable avec à côté de moi soit mon ancienne prof d'anglais de BEP soit une ancienne aide-ménagère à ma grand-mère je ne sais plus. On discute tranquillement de tout et de rien.
Prés de nous, un maître-nageur fait des grands signes, mais personne n'a l'air de paniqué.

Face à nous du côté gauche, de grosses vagues se soulèvent,mais jamais elles ne se referment (des gens marchent dans le creux des vagues sans jamais être ni touchés ni mouillés par la vagues), c'est joli et impressionnant à la fois. Je dis à la personne à côté de moi, elles doivent faire à peu prés 4 fois la mesure d'une personne d'1m50/1m53.

Ensuite je me lève et me dirige vers l'arrière du côté de droit, j'étais parti chercher une glace. Tout à coup je pense à ma petite soeur, je la cherche du regard, l'appelle, lui crie de ne pas se baigner que c'est dangereux.
A ce moment-là deux jeunes filles assises sur leurs serviettes me disent "mais non, n'importe quoi, elle peut se baigner il n'y aucun danger"
Quelques pas plus tard, j'aperçois ma mère et vais la trouver en lui racontant la scène.

Et ensuite je me suis réveillée.

Mercredi 15 février 2012 à 22:27

 Comme vous le savez, je ne veux pas d'enfant (mais c'est peut-être pas définitif) et je n'en savais pas trop la raison.

Du coup, après mon dernier article sur le sujet, j'ai réfléchi (oui ça m'arrive de temps en temps ) à la question et je pense avoir trouvé la réponse.

Jvous explique mon cheminement.

Déjà il faut dire que mon non-désir d'enfanter n'a pas toujours été, comme toutes petites filles je rêvais d'avoir des enfants, même que d'abord j'en voulais 7 ou 8 pis qu'en plus j'avais même décidé des prénoms (bon ok jn'étais pas allée chercher loin, c'était les prénoms des garçons de notre entourage qui étaient les n'amoureux de ma soeur ni plus ni moins)

Quand je suis rentrée au collège, mon père travaillait et ma mère occupait son temps libre à faire des activités au centre social du coin, ateliers qui finissaient souvent vers les 17h ou 18 h.
Je finissais les cours à 16h20 et ma soeur l'école à 16h45.
Trajet collège/appart = 15 minutes
Trajet appart/école = 10 minutes
Mes parents n'étant pas disponibles, c'est moi qui devait aller la chercher, avec un goûter que je préparais moi-même car on n'avait pas toujours des gâteaux dans le placard.

Cette année-là, ma mère m'avait demandé si ça ne me dérangeait pas qu'elle ne soit pas tout le temps là quand je rentrais du collège. J'aurais aimé qu'elle soit là plus souvent mais comme je savais que les activités étaient sa seule occupation, je lui ai répondu que ça ne me dérangeait pas.

J'avais 11 ans, ma soeur en avait 8.

L'année d'après, ma petite soeur est née. Les problèmes de santé de ma mère se sont aggravés.
Je continuais à m'occuper de ma soeur tout en aidant mes parents à s'occuper de ma petite soeur.  D'ailleurs j'avais et j'ai toujours l'impression que c'était eux qui m'aidaient à m'occuper de ma fille que l'inverse.

Un matin que je commençais les cours à 8h, la petite s'était réveillé 10 minutes avant que je parte. Je lui ai préparé son biberon en espérant que l'un de mes parents se réveille avant mon départ (la nuit avait été courte pour tout le monde, je n'osais pas les réveiller). Ne voyant personne bouger, j'en suis venue à me demander si:
- je devais attendre que l'un deux se réveille
- je devais l'emmener avec moi en cours (elle devait avoir dans les 4/5 mois)
-je devais malgré tout réveiller mes parents
-je devais ne pas aller en cours, ou au minimum arriver en retard.

Finalement mon père s'est réveillé et lui a donné son bib'.

J'avais 12 ans, ma soeur 9 et ma petite soeur n'avait pas encore 1 an.

Ensuite, c'est ma période noire, j'étais vraiment pas bien dans ma peau, et jme souviens surtout des disputes que j'avais avec ma soeur pour savoir qui changera la petite. Disputes amplifiées lorsqu'elle avait fait caca.

Fin de 4ème, on déménage, fin de 3ème je décide de partir en internant pour prendre l'air pensant que je ne pourrais rentrer QUE pendant les vacances. Mauvaise pioche, on devait rentrer tout les week-ends.

On avait changé de quartier mais pour des raisons pratiques, je n'avais pas changé de collège, alors je vivais chez mes grands-parents, unique situation positive de cette période.

Si au début, le nouveau quartier de mes parents m'a fait du bien, ça n'a pas duré très longtemps. Pendant tout un trimestre je me sentais mieux à la MFR que chez moi, ensuite est venu le temps où je me suis aperçu qu'on me prenait pour une c**** à la MFR. Evidemment ça n'a pas arrangé mon mal-être.

Un vendredi soir alors que j'étais mal de chez mal, que j'en pouvais plus de rien, j'allais pour rentrer chez moi, j'étais ENCORE SUR LE PALLIER que ma soeur m'a demandé ordonné de vider et nettoyer le pot de la petite car elle l'avait déjà fait peu de temps auparavant.

J'avais entre 16 et 18 ans, ma soeur entre 13 et 15 et ma petite soeur entre 1 et 3 ans.

Depuis ce temps-là, je m'occupe ENCORE de ma petite soeur.  Il a fallu que je la lave l'habille la couche pendant assez longtemps (Je lui fais TOUJOURS couler son bain et lui lave/shampouinne/rince les cheveux assez souvent que la douche fonctionne ou pas)
Quand on mange en "sandwich" (par envie ou parce qu'on peut pas faire autrement", JE dois lui faire, et à tout les repas je dois lui couper son morceau de fromage (quoique pour ces deux points ça commence à changer)
Je devais aussi lui faire chauffer son lait le matin, mais pour pas qu'elle ait à le faire, elle a décrété qu'elle le boirait froid.
Je lui fais aussi son lit car vu que la chambre est en bazard  "c'est pas facile pour elle" ==>> parole de ma mère.
Cette même chambre que JE lui ai rangé je ne sais combien de fois 

Et en ce qui concerne ma soeur et ses enfants, c'est pareil, JE fais pas mal de choses qui devraient être faites par elle et son mec, mais comme au bout d'un moment ça m'énerve et surtout pour le bien-être des petits, c'est moi qui fait.

JE m'occupe aussi de ma mère, enfin, je la roule quand elle doit sortir et je dois être là aux heures des repas, surtout le midi pour que la cuisine soit faite et la table mise quand ma petite soeur rentre du collège et selon les jours, c'est pas forcément compatibles avec mes heures de boulot.

J'ai 28 ans, ma soeur 25 et ma petite soeur 16 (dans 4 jours)

Alors bien sûr, dans l'absolu, ça ne me dérange pas de faire tout ça + tout ce que je n'ai pas marqué mais ce qui me dérange c'est que je suis la seule à le faire alors qu'on pourrait être 3 à le faire.

Enfin, tout ça pour conclure que si je ne veux pas d'enfant c'est puisque je m'occupe de tout et de tout le monde quasiment de façon maternelle, je n'ai pas le temps de désirer materner puisque de toutes façons je le fais déjà, d'une certaine manière.







Mardi 24 janvier 2012 à 22:32

 Enfin je trouve quelques instants pour venir ici!!!  Malheureusement ce n'est pas pour vous donner de bonnes nouvelles (ou juste une ou deux) et vu que je suis à bout, sur les nerfs comme je ne l'ai jamais été, je ne vous garantis pas la cohérence de la construction de cet article, j'écris comme ça me vient, tant pis pour le sens.

Déjà, sachez que ma soeur enceinte et ses petits sont à la maison SANS leur père (déjà son absence est une bonne chose, une chose de moins qui me saoûle pas). Mon autre soeur a presque 16 ans et n'a pas cours le mercredi après-midi comme beaucoup de monde.  Il y a aussi ma mère avec ses nombreux problèmes de santé et moi qui travaille.

Depuis qu'on est dans cet appart (2005 environ), c'est MOI qui me tape TOUT LE MENAGE. Et donc ça fait un bout de temps que j'en ai RAS-LE-BOL mais à un niveau de ras-le-bolitute EXTREME, du coup, ça faisait une quinzaine de jours que je faisais la gueule, que je parlais pour le strict minimum et plus d'enthousiasme pour rien du tout, plutôt des envies que je me serais bien passée de réavoir!!!
J'ai aussi un petit peu (beaucoup) bassiné ma mère, que ma soeur, à 16 ans, pouvait faire beaucoup plus de choses que simplement mettre OU débarrasser la table (ne lui demandez pas de faire les deux pour le même repas, vous vous attirerez ses foudres foudroyantes!!!!)


Résultats, ma mère a fait un planning pour qu'on sache qui fait quoi et quand. Il a démarré hier, ma soeur de 16 ans, à part on tour de vaisselle (laver essuyer ranger) n'a RIEN fait d'autre, pourtant, en suivant bien le planning, elle avait quelques autres tâches à faire.

Aujourd'hui, je devais m'occuper de la salle à manger (en plus d'autres choses), ma soeur enceinte devait commencer à ranger la chambre où elle dort avec les petits et je devais l'aider SI j'avais le temps.
Donc j'ai débauché, je suis arrivé chez moi vers 11h10, on a rangé la chambre jusqu'à 12h car ma soeur de 16 ans rentre manger, le repas finit ma soeur a fait la vaisselle que J'AI ESSUYE ET RANGE, on a continué de ranger/nettoyer la chambre jusqu'à environ 16h30 car il fallait que ma soeur aille chercher les petits chez la nourrice. J'AI MIS LA TABLE, FAIS LA CUISINE (alors qu'en principe, puisque JE FAIS LA CUISINE, c'est ma soeur et/ou ma petite soeur qui met(tent) la table, J'AI DEBARRASSE (alors qu'en principe, celle qui met la table ne la débarrasse pas), J'AI FAIS LA VAISSELLE ESSUYE ET RANGER et me VOILA!

Ma soeur, en allant chercher sa demande de logement, en a pris une pour moi.  La énième à mon actif, aucune complétée, mai cette fois, jvous garantis que celle-là sera remplie, complétée comme il faut.
La situation est invivable, IL FAUT que je parte. Dans un appart ou dans les étoiles, mais FAUT QUE JE PARTE. VITE. TRES VITE. AVANT QUE L'IRREPARABLE SOIT COMMIS ET CA EN EST PAS LOIN. PAS LOIN DU TOUT.

Ce qui m'énerve aussi, c'est que ma mère croit que si je prends un appart', c'est pour se débarrasser d'elles, et ce n'est pas du tout le cas (c'est pas d'aujourd'hui que je veux un appart', prendre mon indépendance, parce que malgré ce qu'on pourrait en croire, je ne pars pour fuir mais parce que je ne compte pas  rester chez ma mère jusqu'à mes 50 piges!!!)

Et cette putain de thyroÏde qui me saoûle également. Vers Août, j'avais tendance à oublier mon Lévo, et du coup j'avais arrêté de le prendre et m'étais aperçu que je me sentais mieux sans qu'en le prenant.
Et ces derniers jours, vu mon état lamentablement nerveux, je me suis dis que ça n'avait peut-être rien à voir avec la situation mais que c'était peut-être dû à un dérèglement hormonal, donc persuadée qu'il me restait un fond de Lévo quelque part, jme suis dis, jvais en reprendre. Du 75 comme au bon vieux temps, mais impossible de remettre la main dessus, par contre je tombe sur une boite de Lévo 175 appartenant à ma mère qui ne prend plus ce dosage mais du 250. Alors, puisqu'il m'en faut coûte que coûte, je prends LA MOITIE (oui jsuis peut-être barge mais pas au point  de prendre une dose aussi différente que ma dose habituelle).

Et miracle! Ca m'a détendu SANS ME METTRE A PLAT, alors qu'en général il me faut au minium 2 SEMAINES pour en ressentir les effets. Du coup, comme ma petite soeur avait rendez-vous chez le médecin hier, je lui ai dit qu'elle demande une ordonnance de Lévo 75 pour moi (que j'ai pas encore été cherché car..... PAS LE TEMPS)


J'EN AI MARRE RAS LE BOL FAUT QUE CA CHANGE TRES RAPIDEMENT J'EN PEUX PLUS


Je sais, cet article a des airs de plainte MAIS JE M'EN FOUS, ça fait sûrement enfantin de se plaindre comme ça, MAIS JE M'EN TAPE AUSSI, PUIS D'ABORD JE ME PLAINS PAS, J'EXTERIORISE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

Lundi 9 janvier 2012 à 18:17

 JE VEUX DU CALME

 

DU SILENCE

 

DU REVE
 

ET UN ENDROIT POUR HURLER!!!!!!
 

Vendredi 21 octobre 2011 à 16:10

 En début de semaine, je reçois un courrier de la sécurité sociale, me demandant de retourner ce courrier avec

mes fiches de paie de septembre 2010 à septembre 2011
mes certificats de fin de travail pour la même période

C'est donc toute fière d'avoir tout mes papiers que je m'en vais leur rapporter hier après-midi.
Conclusion, il faut que je rapporte:

mes fiches de paie depuis que j'ai commencé à travailler, donc de mai 2005 à septembre 2011
mes certificats de fin travail pour cette même période
une notification assedic de situation
et tout mes avis de paiements assedic depuis 2005

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