Aufildemavie

Ma vie

Samedi 12 mars 2011 à 11:20

 Est-ce bien raisonnable d'entretenir une 
amitié lorsqu'on voudrait de l'amour? 
Ma raison me dit "non", mon coeur 
me crie que "c'est toujours ça". 
Si l'on en croit la sagesse populaire 
"l'amour a ses raisons que la raison-même ignore". 
Mais l'amour peut-il renaître douze ans 
plus tard dans le coeur d'une même personne? 
Est-il possible, douze ans aprés, d'aimer 
l'être qui a fait battre mon coeur à l'âge 
des premières fois que je n'ai pas connues? 
Comment est-il faisable de ressentir ces 
mêmes émotions, plus d'une décennie aprés, 
alors qu'on n'a jamais revu celui avec qui 
on voulait faire sa vie? 
On dit souvent "le hasard n'existe pas", 
que "l'avenir est écrit". 
Dans ce cas, pourquoi le destin nous a réuni 
à nouveau, tout en maintenant la distance et que 
son coeur à lui porte une bague de fiançaille?

Samedi 12 mars 2011 à 11:17

 Une vague de souvenirs douloureux enveloppe mon corps et inonde 
mon coeur de leurs images jaunies par le temps. 
La douleur est si violente que des larmes 
font gonfler mon coeur meurtri. 
Comment désemplir ce nid à émotions sans 
couler dans la souffrance? 
Que faire pour vider ce sac d'un poids 
plus lourd que le plomb? 
Que faire lorsque mon coeur éclatera 
par la pression engendrée? 
Alors, la marée de la souffrance m'inondera. La 
houle des larmes délivrées m'entraînera vers 
d'autres horizons lointains. 
S'accrocher à un amour interdit, se laisser 
dériver pour ne pas couler. Nager à contre-courant 
de la vie serait trop difficile. 
En attendant l'accalmie de cette tempête 
d'amour, je flotte, absente, entre hier et aujourd'hui, 
survolant la vie qui me traîne, malgré moi, dans 
ses sillons obscurs dont je ne vois pas l'issue.

Samedi 12 mars 2011 à 11:11

 Dehors, la pluie déverse sa rage contre les volets, mais à l'intérieur l'atmosphère est au 
beau fixe. 

Là-haut, dans la petite chambre de bonne, ils se 
retrouvent seuls pour la première fois. 

Ensemble, dans un timide corps à corps, bien qu'ils ne soient plus des enfants, 
ils découvrent les plaisirs d'adultes qu'ils ne sont pas encore; 

le goût sucré d'un fougueux baiser, 
la sueur donnant à la peau nue un goût salé, 
la magie de communiquer par des silences qui en disent long, 
le désir et le plaisir de ne faire qu'un... 

De maladresse en gestes tendres 
de doux regards en sourires 
de baisers en caresses 
ils s'envolent sur l'arc-en-ciel du bonheur. 

Leur manque d'expérience et leurs jeunes âges ne les 
emmèneront peut-être pas au centre des étoiles mais malgré 
l'avenir incertain de leur liaison 
cette nuit-là sera leur plus beau souvenir.

Vendredi 11 mars 2011 à 22:01

 C'était dans la nuit brune 
le souffle du vent ondulait les branches des arbres 
au rythme du murmure des vagues 

Le cri d'un hibou solitaire 
orchestrait ce spectacle de nuit 
où Dame Natur interprêtait le premier rôle 

Quelques nuages se dispersèrent 
et laissèrent passer un rai de lumière 
c'est dans cet instant de pûreté 
que je m'écriai 
Je viens voir la lune.

Vendredi 11 mars 2011 à 21:34

 JE VEUX DU SILENCE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Et pas que pour deux minutes! Je veux du silence qui dure, et je veux pouvoir être tranquille à l'ordi beaucoup plus longtemps qu'un demi-millième de seconde!!!!!!!


Je veux qu'on me foute la paix, ne serait-ce qu'une heure, rien que le silence et moi. Marre d'entendre crier, et d'entendre crier les uns pour faire arrêter de crier l'autre.
Je comprends qu'un bébé de 17 mois crie, mais là j'ai ma dose, en plus aujourd'hui elle a été exécrable (ma nièce).

- elle a allumé la télé
- elle a touché le clavier de l'ordi à ma mère, et par la même occasion, elle a bousillé des trucs dans l'ordi, heureusement ma mère a pu tout remettre dans l'ordre
-elle n'arrête pas de crier, surtout en présence de ses parents, de son père alias Môsieur je-ne-fais-aucun-effort-sauf-pour-ne-rien-faire-ou-que-ce-qui-m'interesse en particulier
-elle a trouvé le moyen de se renfermer dans la salle de bain (heureusement elle ne sait pas (encore) qu'on peut fermer la porte à clef
-elle s'est baladé dans le couloir avec la souris et le tapis de souris de ma mère dans le couloir
-elle "engueule" dans son charabia ma touche espace car  " aïen aïen" (traduction: il n'y a rien (d'écrit dessus)) Enfin ça, c'est pas trop une bêtise, mais pour elle c'était une raison de plus pour crier.

Alors là j'en peux plus de chez peux plus. Mes oreilles crient au secours, enfin elle crient surtout au silence.

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